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Accueil » Blog » Comment arrêter de manger ses émotions ?
Émotions

Comment arrêter de manger ses émotions ?

Adeline
MàJ : 29 avril 2025 à 13h40
Par Adeline
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17 min de lecture
les différentes émotions
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Vous arrive-t-il de vous jeter sur un paquet de biscuits après une journée stressante ? Ou de grignoter sans faim devant une série lorsque vous vous sentez triste ou frustré(e) ? Si oui, vous pratiquez sans doute ce qu’on appelle le manger émotionnel. Ce comportement courant consiste à utiliser la nourriture comme un refuge face aux émotions, positives ou négatives. Mais bonne nouvelle : il est tout à fait possible d’en sortir. Voici 12 astuces concrètes et bienveillantes pour arrêter de manger ses émotions et retrouver une relation plus saine avec l’alimentation.

Sommaire
Que signifie « manger ses émotions » ?1. Identifier ses déclencheurs émotionnels2. Différencier la faim physique de la faim émotionnelle3. Respirer avant de manger4. Mettre en place des rituels de réconfort non alimentaires5. Accueillir ses émotions au lieu de les fuir6. Travailler sur la gestion du stress7. Dormir suffisamment8. Manger de manière plus consciente9. Revoir sa relation à la nourriture10. Travailler sur l’estime de soi11. Se faire accompagner12. Être patient et indulgent avec soi-mêmeConclusion

Que signifie « manger ses émotions » ?

« Manger ses émotions » désigne un comportement dans lequel la nourriture est utilisée comme une réponse automatique aux émotions plutôt que comme une réponse à une vraie faim physique. Ce phénomène peut toucher n’importe qui, à différents moments de la vie, et concerne autant les émotions négatives que les positives.

Lorsqu’on mange pour se réconforter, se calmer ou combler un vide intérieur, on cherche à anesthésier une émotion difficile à vivre : 

  • tristesse, 
  • colère, 
  • solitude, 
  • ennui, 
  • anxiété… 

Par exemple, après une journée stressante, on peut ressentir un besoin urgent de sucre. Ce besoin n’est pas dicté par l’estomac, mais par le mental ou le cœur.

Contrairement à la faim physiologique, qui apparaît progressivement et peut être satisfaite par divers aliments, la faim émotionnelle est souvent soudaine, précise (besoin d’un aliment spécifique), urgente et source de culpabilité après coup.

Ce type de comportement, bien qu’humain, peut devenir problématique s’il se répète régulièrement. Il ne s’agit pas seulement de ce qu’on mange, mais surtout de pourquoi on le mange. Comprendre cette dynamique est une étape fondamentale pour apprendre à arrêter de manger ses émotions et retrouver une alimentation plus consciente et respectueuse de soi. Voici nos conseils d’experts pour arrêter de manger vos émotions : 

1. Identifier ses déclencheurs émotionnels

La première étape pour arrêter de manger ses émotions est d’apprendre à reconnaître les éléments déclencheurs. Cela peut être : 

  • une situation particulière (dispute, surcharge de travail), 
  • une émotion précise (colère, ennui, tristesse), 
  • ou un moment de la journée (soirée, solitude). 

Tenir un journal alimentaire et émotionnel peut être très utile : notez ce que vous mangez, quand, dans quel contexte et ce que vous ressentez. À force, vous repérerez des schémas récurrents.

Nos lecteurs apprécient aussi : 10 meilleurs livres sur l’hypersensibilité 

2. Différencier la faim physique de la faim émotionnelle

comment arrêter de manger ses émotions

Il est essentiel d’apprendre à distinguer la vraie faim, qui répond à un besoin physiologique, de la faim émotionnelle, qui sert à apaiser une tension intérieure. Cette distinction est la clé pour arrêter de manger ses émotions durablement, car elle permet de reprendre le contrôle sur ses choix alimentaires en comprenant leurs véritables origines.

La faim physique se manifeste progressivement. Vous ressentez un creux dans l’estomac, une baisse d’énergie, parfois une légère sensation de faiblesse ou d’irritabilité. 

Elle peut être calmée par une grande variété d’aliments, et une fois que vous avez mangé une quantité suffisante, la sensation de faim disparaît naturellement. Elle s’accompagne souvent de signaux corporels clairs : gargouillements, salivation, baisse de concentration.

La faim émotionnelle, en revanche, est soudaine, intense et très spécifique. Vous avez besoin d’un aliment en particulier — souvent du sucre, du gras, du salé ou un aliment « réconfort » lié à un souvenir d’enfance. 

Elle ne vient pas de l’estomac mais de l’esprit ou du cœur. Elle surgit souvent en réaction à une émotion inconfortable : 

  • stress, 
  • frustration, 
  • solitude, 
  • ennui, 
  • tristesse, 
  • fatigue émotionnelle. 

Une fois que vous avez mangé, vous pouvez vous sentir coupable, frustré ou insatisfait, car le besoin émotionnel sous-jacent n’a pas été réellement comblé.

Lisez aussi : Les 9 meilleurs livres sur la PNL 

3. Respirer avant de manger

Prendre quelques instants pour respirer profondément permet de casser l’automatisme entre émotion et alimentation. C’est une habitude simple, mais puissante, à intégrer dans votre quotidien pour mieux gérer les impulsions dictées par les émotions. Souvent, lorsque vous êtes sur le point de manger sans faim réelle, votre corps et votre esprit sont en état de tension ou de réactivité.

La respiration agit comme un interrupteur émotionnel : elle interrompt le pilote automatique. Respirer en conscience, ne serait-ce que 1 à 3 minutes, permet de calmer votre système nerveux, de ralentir le rythme cardiaque et de revenir dans le moment présent. Cela vous donne le temps et l’espace pour observer ce qui se passe en vous avant de passer à l’acte alimentaire.

4. Mettre en place des rituels de réconfort non alimentaires

Changer son mode de réconfort est essentiel pour arrêter de manger ses émotions. Construire des alternatives positives permet de répondre à ses besoins affectifs sans passer par la nourriture.

5. Accueillir ses émotions au lieu de les fuir

Mieux gérer ses émotions passe par l’acceptation. Cela signifie les reconnaître, les ressentir, les exprimer… plutôt que de les fuir ou de les anesthésier avec la nourriture. 

Quand une émotion difficile survient, notre premier réflexe peut être de la repousser : « Je ne devrais pas me sentir comme ça« , ou encore « Il faut que j’aille mieux tout de suite« . Pourtant, chaque émotion est un signal précieux envoyé par notre corps et notre esprit.

Accueillir ses émotions, c’est leur faire une place, sans jugement. Cela ne signifie pas les laisser diriger votre vie, mais simplement leur permettre d’exister. Vous pouvez vous dire : « Je me sens stressé(e), et c’est ok », ou « Je ressens de la tristesse en ce moment, j’ai le droit de la vivre ».

6. Travailler sur la gestion du stress

Le stress est l’un des plus grands déclencheurs du manger émotionnel. Lorsque vous êtes sous pression, votre corps produit davantage de cortisol, une hormone qui augmente l’appétit, notamment pour des aliments sucrés et gras. 

Dans ce contexte, manger devient un moyen rapide et accessible de se calmer ou de se récompenser. Le problème, c’est que ce soulagement est temporaire, et souvent suivi de culpabilité ou d’un mal-être accru.

Apprendre à mieux gérer son stress est donc une étape clé pour arrêter de manger ses émotions. Cela passe par une combinaison d’actions physiques, mentales et émotionnelles qui permettent de diminuer l’intensité des tensions du quotidien.

7. Dormir suffisamment

Le sommeil est un pilier souvent sous-estimé lorsqu’il s’agit d’arrêter de manger ses émotions. Pourtant, un bon sommeil joue un rôle central dans la régulation émotionnelle, le contrôle des impulsions, et l’équilibre des hormones responsables de la faim et de la satiété.

Lorsque vous manquez de sommeil, votre corps produit davantage de ghréline (l’hormone qui stimule l’appétit) et réduit la production de leptine (l’hormone qui signale la satiété). 

Résultat : vous avez davantage envie de manger, surtout des aliments riches en sucre, en gras ou en sel, qui procurent une satisfaction rapide. De plus, la fatigue diminue vos capacités de réflexion et de self-control, vous rendant plus vulnérable face aux émotions négatives et aux envies impulsives.

Découvrez aussi : Meilleurs livres sur la CNV 

8. Manger de manière plus consciente

L’alimentation intuitive et consciente aide à se reconnecter à ses sensations corporelles. C’est une stratégie essentielle pour ne plus manger automatiquement sous l’effet d’émotions non gérées. En d’autres termes, manger de manière plus consciente, c’est faire de chaque repas un moment d’écoute de soi, de plaisir et de pleine présence.

Quand on mange ses émotions, on le fait souvent machinalement : en scrollant sur son téléphone, devant la télé, ou en pensant à mille choses. Le geste est rapide, compulsif, parfois même sans réelle attention portée aux aliments. Résultat : on ne profite pas du moment, on ne sent pas la satiété venir, et l’on peut ressentir de la culpabilité juste après.

Adopter une alimentation consciente, ou « mindful eating », c’est ralentir, observer, savourer. C’est aussi se demander : ai-je faim ? Est-ce que ce que je suis en train de manger me nourrit vraiment — physiquement et émotionnellement ?

9. Revoir sa relation à la nourriture

Se libérer du rapport conflictuel avec la nourriture est fondamental. Trop souvent, l’alimentation est utilisée comme un outil de contrôle, de compensation ou de punition. On passe alors d’une phase de restriction stricte à des épisodes de craquage incontrôlé, alimentant un cercle vicieux de frustration, de culpabilité et de perte de confiance en soi.

Revoir sa relation à la nourriture, c’est sortir de cette dynamique de « bon » ou « mauvais » aliment, et adopter une vision plus bienveillante et intuitive de l’alimentation. C’est comprendre que manger est un acte naturel, nécessaire, et qu’il peut être à la fois nourrissant pour le corps et réconfortant pour l’âme — sans excès ni culpabilité.

10. Travailler sur l’estime de soi

Plus l’on se valorise, moins on a besoin de chercher un réconfort extérieur. L’estime de soi est directement liée au manger émotionnel : lorsque l’on ne s’aime pas ou que l’on doute de sa valeur, il devient facile de se tourner vers la nourriture pour combler un vide, calmer une culpabilité ou éviter un jugement intérieur trop sévère.

Travailler sur l’estime de soi et la confiance en soi, c’est se reconnecter à sa valeur personnelle, indépendamment de ses réussites, de son apparence ou de son poids. 

Cela passe d’abord par le langage intérieur : comment vous parlez-vous au quotidien ? Êtes-vous votre meilleur(e) allié(e) ou votre pire critique ? Apprenez à remplacer les jugements négatifs par des phrases de soutien, de validation et d’encouragement.

L’estime de soi se cultive aussi par l’action. Fixez-vous des objectifs réalistes et atteignables, et célébrez chaque progrès. Prendre soin de son corps, écouter ses besoins, respecter ses limites : toutes ces pratiques renforcent la confiance en soi et réduisent le besoin de compenser émotionnellement par la nourriture.

Entourez-vous également de personnes bienveillantes. Éloignez-vous des relations toxiques, des discours culpabilisants et des comparaisons permanentes. L’environnement joue un rôle important dans la manière dont on se perçoit.

Pratiquez la gratitude envers vous-même. Chaque soir, notez trois choses que vous avez bien faites dans la journée, trois qualités que vous appréciez chez vous ou trois moments où vous avez été à l’écoute de vos besoins. 

Petit à petit, vous nourrissez une image plus juste, plus douce et plus positive de vous-même — un rempart puissant contre le besoin de manger ses émotions. Renforcer la confiance en soi est un pilier essentiel dans la démarche pour ne plus manger ses émotions.

arrêter de manger ses émotions

11. Se faire accompagner

Consulter un professionnel peut faire toute la différence lorsque l’on souhaite véritablement arrêter de manger ses émotions. Bien que les astuces et les conseils puissent déjà amorcer une transformation, certaines problématiques nécessitent un accompagnement plus en profondeur.

Le manger émotionnel est souvent enraciné dans une histoire personnelle complexe : expériences passées, manque d’affirmation de soi, stress chronique, traumas non résolus, ou encore conditionnements éducatifs. Il ne s’agit donc pas seulement de « volonté » ou de « contrôle », mais de mécanismes émotionnels puissants qui ont besoin d’être identifiés et apaisés.

12. Être patient et indulgent avec soi-même

Arrêter un schéma de manger émotionnel ne se fait pas du jour au lendemain. Il s’agit souvent d’un mécanisme ancré depuis des années, parfois depuis l’enfance, utilisé pour faire face à des émotions intenses ou à des situations difficiles. C’est pourquoi la patience et la bienveillance envers soi-même sont essentielles dans ce processus de transformation.

Il est important de comprendre qu’il n’existe pas de parcours linéaire. Il y aura des avancées, mais aussi des rechutes. Ces moments de retour en arrière ne sont pas des échecs, mais des opportunités d’apprentissage. Au lieu de vous juger sévèrement, demandez-vous ce que vous ressentez, ce dont vous avez besoin, et comment vous pouvez vous soutenir autrement la prochaine fois.

Cultivez une attitude d’auto-compassion : parlez-vous comme vous le feriez à un(e) ami(e) cher(e) en difficulté. Prenez conscience de vos progrès, même s’ils vous semblent petits. Vous avez résisté à une envie aujourd’hui ? Vous avez identifié un déclencheur ? C’est une victoire. Notez ces avancées dans un carnet, célébrez-les, et continuez à avancer à votre rythme.

Enfin, n’oubliez pas que changer une habitude prend du temps. Les neurosciences montrent qu’il faut en moyenne 66 jours pour créer un nouveau comportement durable. Alors soyez indulgent(e) avec vous-même : chaque pas compte, chaque prise de conscience est une brique de plus vers une relation plus saine avec la nourriture – et avec vous-même.Il faut du temps, de la compassion et une approche progressive pour créer un changement durable.

Conclusion

Arrêter de manger ses émotions, ce n’est pas seulement reprendre le contrôle sur son alimentation. C’est aussi apprendre à mieux se connaître, à écouter ses besoins profonds et à prendre soin de soi autrement. Ces 12 astuces vous permettront de retrouver une relation plus apaisée avec la nourriture et avec vous-même.

En appliquant ces conseils régulièrement, vous poserez les bases d’un nouvel équilibre, basé sur la conscience, l’acceptation et la bienveillance. Et c’est exactement cela, la clé pour arrêter de manger ses émotions durablement.

 

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